Nicolas Isnard, chef étoilé, si le rugby était un moment culinaire ça serait un barbecue

Nicolas Isnard est ambassadeur de la marque Religion Rugby depuis 5 ans. Comme pour tous nos ambassadeurs ce n’est pas l’argent qui dicte les choix mais le cœur et l’adhésion à une certaine philosophie de vie. La rencontre s’est faite lors d’un shooting au profit de l’association le colosse aux pieds d’argile évoqué lors d’un précédent article sur notre blog. Parmi le parterre des chefs prestigieux nous avons de suite été attiré par la personnalité authentique de cet enfant de la rade. Sa barbe et ses cheveux longs lui ont immédiatement valu le surnom du chabal des cuisines. Passionné de rugby, il inaugure notre série de portraits croisés entre le monde de l’ovalie et de la gastronomie. Voilà ce que ça donne quand un chef se met à table.. table ovale, ça va de soi.

Nico Isnard, le Chabal des cuisines

Le chef toulonnais a toujours été mordu de rugby. Il se souvient des matches à Mayol, de    l’ambiance bouillante du stade, du pilou pilou. Mais il se souvient également de son père,  ancien joueur de Carqueiranne avec qu’il partageait ces moments de sport. Le rugby  c’était  pour Nicolas des épopées fantastiques menées par des guerriers rouge et noir dont  certains  noms comme ceux de Éric Champ, Jérôme Gallion ou encore Thierry Louvet  résonne  encore à ces oreilles. Nicolas a d’ailleurs lui même chaussé les crampons avec  l’équipe de  Frontignan dans l’Hérault, il jouait ailier gauche mais des mauvaises habitudes  de  footballeur le mettaient souvent en position de hors jeu. Mais peu importe, ceux  qu’appréciait le plus le jeune joueur c’était la convivialité des troisièmes mi-temps et les  liens inextricables qui unissaient les membres de l’équipe. C’est d’ailleurs ces liens, que  Nicolas, cherchent en permanence à tisser, ces liens invisibles qui rapprochent les hommes.  La cuisine a donc été un choix naturel vers lequel s’est orienté rapidement le jeune chef qui  atteindra les étoiles.

Retrouver dans les cuisines les valeurs du pré

La générosité, la passion, l’humilité, le respect et le courage sont pour Nicolas les valeurs transverses au deux deux univers. S’il devait faire un choix, la générosité serait sa valeur cardinale. Elle guide ses gestes précis en cuisine, elle rejaillit dans ses plats, elle soude ses équipes, elle le lie au client. La cuisine c’est un acte d’amour, l’expression du cœur.

Cette générosité se retrouve dans son parcours professionnel et son cheminement culinaire. Nicolas définit sa cuisine comme éclectique. Elle est une invitation au partage et au voyage. Après une expérience de 3 ans sous les ordres de son « père spirituel » Gilles Goujon à l’Auberge du Vieux Puit à Fontjoncouse, il enrichit son savoir faire d’expériences culinaires aux quatre coins du monde. Il ouvrira un temps un restaurant en Thaïlande tout en établissant une solide notoriété en Bourgogne et dans le dijonnais en particulier. A travers l’utilisation du mot père spirituel, Nicolas nous rappelle que la cuisine est avant tout une histoire de transmissions, de passage de relais, un peu à l’image du rugby.

Ouvert sur le monde, de formation classique sublimée par de nombreux voyages, revendiquant un ADN mondial avec une cuisine parfumée et épicée, la personnalité du chef se traduit dans deux plats signatures d’exception.

Un plat traditionnel : une soupe à l’oignon

Un plat « voyage » : fricassée de poulpe et ris de veau avec une sauce retour de Saïgon (citronnelle, coriandre, ail, agrumes, gingembre, galanga)

Les mots évoquent les couleurs et les saveurs, ils peuvent même avoir une certaine consistance mais rien ne remplacera l’explosion en bouche, les odeurs, la texture et l’incroyable sensation de bonheur qui envahit celui qui goûte un plat du chef étoilé.

Si le rugby était un plat ou un moment de cuisine… il serait

Il serait pour Nicolas un barbecue « tong, pastis, pétanque » sublimé par des produits d’une qualité exceptionnelle. Le rugby c’est le partage, la convivialité, la simplicité même mais c’est aussi l’appréciation des bons produits, du terroir, de l’authenticité. C’est pour ça que le chef s’imagine au milieu de cet instant, au barbecue évidemment car c’est lui qui donnerait le tempo et qui ajouterait un peu de magie dont il a le secret aux produits sélectionnés.

La simplicité n’exclut pas l’excellence, bien au contraire, elle en révèle le sens. C’est pour cela que Nicolas choisirait des belles côtes de bœuf de la ferme de Clavisy de Guillaume Verdin, elles seraient arrosées d’un vin du domaine Charles Audoin, domaine viticole situé à Marsannay-la-Côte et géré par Cyril (5ème génération de vigneron) et pour clôturer le festin, un paris Brest de Pascal Caffet chef pâtissier et chocolatier, champion du monde pâtissier chocolatier glacier et de Meilleur ouvrier de France pâtissier dont vous pourrez découvrir les réalisations ici.

Le repas que décrit Nicolas est magique, je l’imagine au milieu d’un espace de verdure soufflant les braises d’un vieux barbecue de fortune, souriant et heureux entouré de copains du rugby mais aussi, par l’intermédiaire de leurs produits, la présence des producteurs et artisans évoqués ci-dessus dont l’âme et l’amour transparaissent dans leur vin, viandes et pâtisserie. La magie de la cuisine c’est peut être ça aussi, rassembler autour de moments éphémères des personnes présentes et des acteurs invisibles.

Deux rugbymen que Nico aurait aimé invité à ce barbecue

Deux toulonnais bien sûr. Le premier c’est Christian Califano. Pilier de légende, lui aussi ambassadeur Religion Rugby dont vous pourrez d’ailleurs trouver la collection sur notre site en ligne. Cali est un homme généreux, une légende du rugby bien entendu mais surtout un passionné hyper actif qui touche à tout et qui se lance dans de nombreuses aventures dont certaines parlent de gastronomie. Le second, c’est Christophe Dominici. Christophe a fait rêver de nombreux joueurs et fan de rugby, son incroyable essai contre les all black et sa personnalité ont marqué Nicolas. Christophe s’était reconverti dans le domaine viticole, c’est la passion de la terre et de la gastronomie que Nicolas aura aimé pouvoir partager avec cette légende partie trop tôt.

« Je rêvais de rencontrer Dominici, il m’a fait rêvé, il aimait le vin, c’était un épicurien, j’aurai aimé lui faire découvrir ma cuisine. »

Restaurant et identité de marque : pourquoi choisir Religion Rugby?

Pour un établissement, la tenue vestimentaire de son équipe est primordiale. C’est un indicateur d’état d’esprit et de performance. Pour mes bistrots Religion Rugby est idéale pour accompagne mes équipes. La qualité de leurs vêtement, la résistance polos et les design originaux permettent de nous démarquer tout en collant aux valeurs du rugby.

« Je me sers des valeurs du rugby pour manager et motiver mes équipes en créant un esprit de groupe. Religion Rugby s'est une marque dont j'aime les produits et à laquelle je m'identifie."

« Pour mon restaurant étoilé, c’est différent, le code vestimentaire doit rester plus classique, plus sobre. »

Vous pouvez découvrir l’univers gastronomique de Nicolas dans les établissements suivants. J’espère que cet article vous donnera envie de découvrir la cuisine du chef et n’hésitez d’ailleurs pas à laisser un commentaire pour partager avec bous votre expérience. D’ailleurs, si vous vous rendez dans l'un de ces établissements avec un produit officiel de Religion Rugby et que le chef est présent, il aura une attention particulière à votre égard et peut une petite surprise car oui, Religion Rugby c’est une famille et on prête toujours attention aux membres de la famille.

- Restaurant étoilé Auberge de la Charme 21310 Prenois https://aubergedelacharme.com

- Bistrot des Halles à Dijon https://lebistrotdeshalles.fr

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